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Chennai, Tamil Nadu
Je quitte Bhubaneswar en prenant le Coromandel Express pour Madras, maintenant appellé Chennai. Vingt heures plus tard, j’arrivais à Chennai Central. Grande ville au bord de la mer, il n’y a pas grand chose à voir à part les villages/bidonvilles des pêcheurs et leurs bateaux sur la plage (tout détruit par le tsunami de triste mémoire, mais bien reconstruit depuis même si reconstruire un bidonville est un concept un peu surréel pour l’occidental délicat que je suis !), et le temple de Kapaleeswarar, dédié à Shiva et Parvati, datant du 16eme siècle. Tours peintes de couleurs très vives et couvertes de centaines de statues. Il est ouvert aux non-hindous et les ‘guides’ sont là à profusion. Tout avait bien commencé avec un jeune homme se présentant comme un étudiant en économie faisant le guide pour payer ses études. Ne voulant pas de guide au départ (vieille rengaine), j’ai accepté pensant lui donner 50 roupees, mais vu sa gentillesse et efficacité, je lui en ai donne 100. Ah, mais c’est qu’il n'était pas content : « tout le monde me donne 200 ou 300 cent roupees », et il a fait mine de me rendre mon billet !!! Incroyable !! On a failli se facher sérieux et j’ai fini par lui dire que si les autres lui donnaient 200 roupees, il n’avait qu’a s’adresser a eux. C’est la que j’ai decidé que le baksheesh non negocié à l’avance n’aurait plus court. Non mais !!! |
Chennai, Tamil Nadu
The Coromandel express took twenty hours to cover the 1200 kilometers separating Bhubaneshwar from Madras, now known as Chennai.
The fourth largest city in India, Madras was pleasant enough, even though my first night’s hotel, the once-upon-a-time charming Broadlands Lodge, was an ugly and leprous hole from which I retreated quickly the following day! I did visit yet another temple, the beautiful sixteenth century Kapaleeswarar Temple, dedicated to Shiva and his consort Parvati, where the guide who sort of forced himself upon me was none too pleased with my 100 rupees donation; “Every one gives me 2 or 300 rupees” he whined. After a month of endless baksheesh, I couldn’t take it any longer and told him to ask “every one” for the difference if he really wanted more money!!
We parted without saying goodbye! |
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